Une version personnelle de “Comme toi” de Jean-Jacques Goldman.
Il y avait l’eau claire et le sable de velours
A coté le désert et la savane autour
J’rêvais un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
La photo n’est pas bonne mais l’on peut y voir
La plage de la Somone et la douceur du soir
Je vivais insouciante, aimant Saly et puis Dakar
Et puis toi, et puis toi, et puis toi, et puis toi,
Et puis toi, et puis toi, et puis toi, et puis toi,
Et puis toi que je regrette tout bas
Et puis toi qui dort sous la terre là-bas
Et puis toi, et puis toi, et puis toi, et puis toi.
Et j’allais à l’école au lycée de là-bas
J’y apprenais la France en ignorant le froid
Je chantais le soleil et la chaleur qui veillaient sur moi
Et j’aimais mon foyer et j’aimais mes amis
Surtout Claire et Deniz et surtout Hamady
Je les aurais emmenés, un jour, peut-être en Australie
Avec toi, avec toi, avec toi, avec toi,
Avec toi, avec toi, avec toi, avec toi,
Avec toi que je regrette tout bas
Avec toi qui dort sous la terre là-bas
Avec toi, avec toi, avec toi, avec toi.
Je m’appelais Sarah et n’avais pas quinze ans
Ma vie c’était douceur, rêves et nuages blancs
Mais d’autres gens en avaient décidé autrement
Et j’aimais cette terre et j’aimais ces ombrages
Je vivais des histoires à travers mes images
Et je me redécouvre soudain, ici, et maintenant
Mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi,
Mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi,
Mais sans toi que je regrette tout bas
Mais sans toi qui dort sous la terre là-bas
Mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi, mais sans toi…
Syrtlean (30 Novembre 2001)
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